Revue de presse
L’histoire
Une jeune fille perd sa grand-mère adorée, une nuit alors qu'elle dormait chez elle avec son chien Le Gros, c'est la Lune qui est venue la chercher. On la retrouve quelques mois plus tard chez sa psy qui cherche à comprendre l'histoire étonnante qui suivit cette nuit. La poésie et l’humour Une jeune fille perd sa grand-du récit bousculent les préjugés et permettent de créer le dialogue là où il est parfois difficile de s'aventurer. Parler de la mort avec les mots de Wajdi Mouawad, c'est créer un hymne à la vie.
L’auteur
Wajdi Mouawad, dramaturge libano- québécois, a l’art de raconter les histoires, de dire le monde, de le dérouler telle
une fresque offerte au regard. Au Festival d’Avignon 2009, le souffle épique de sa trilogie « Littoral, Incendies et Forêts » a conquis le grand public.
« Ce qui m’intéresse dans mes textes : savoir quoi faire avec cette souffrance lorsqu’elle arrive. Bien souvent, il faut l’intégrer à la vie, devant elle. Et se déplacer avec elle pour l’amener dans un paysage autre, pour qu’elle devienne autre chose. »
Wajdi Mouawad.
La mise en scène
Avec les comédiens, nous avons choisi comme axe de jeu le point de vue de Julie, afin que chaque spectateur puisse retrouver ses yeux d’enfant et faire son propre chemin intérieur. Les vidéos projetées permettent d’entrer dans son imaginaire. L’univers sonore, fait de vent métallique, de guitare électrique et de blues de Nina Simone, apporte de la chaleur et du relief dans une tonalité scénographique plutôt noir et blanc. Le rapport au concret est essentiel : Chaque objet de la chambre de la grand-mère a son importance, évoquant à la fois le souvenir et le vide, mais participant aussi au rituel de transformation liée à la mort : le drap devient linceul, le lit devient la cave, le manteau devient la peau et la valise, invitation au voyage de Pacamambo, devient vecteur de transmission. Enfin la mort, si attendue, s’invite à prendre le thé pour finalement incarner l’évidence : accepter de vivre, c’est accepter de mourir.
L’histoire
Une jeune fille perd sa grand-mère adorée, une nuit alors qu'elle dormait chez elle avec son chien Le Gros, c'est la Lune qui est venue la chercher. On la retrouve quelques mois plus tard chez sa psy qui cherche à comprendre l'histoire étonnante qui suivit cette nuit. La poésie et l’humour Une jeune fille perd sa grand-du récit bousculent les préjugés et permettent de créer le dialogue là où il est parfois difficile de s'aventurer. Parler de la mort avec les mots de Wajdi Mouawad, c'est créer un hymne à la vie.
L’auteur
Wajdi Mouawad, dramaturge libano- québécois, a l’art de raconter les histoires, de dire le monde, de le dérouler telle
une fresque offerte au regard. Au Festival d’Avignon 2009, le souffle épique de sa trilogie « Littoral, Incendies et Forêts » a conquis le grand public.
« Ce qui m’intéresse dans mes textes : savoir quoi faire avec cette souffrance lorsqu’elle arrive. Bien souvent, il faut l’intégrer à la vie, devant elle. Et se déplacer avec elle pour l’amener dans un paysage autre, pour qu’elle devienne autre chose. »
Wajdi Mouawad.
La mise en scène
Avec les comédiens, nous avons choisi comme axe de jeu le point de vue de Julie, afin que chaque spectateur puisse retrouver ses yeux d’enfant et faire son propre chemin intérieur. Les vidéos projetées permettent d’entrer dans son imaginaire. L’univers sonore, fait de vent métallique, de guitare électrique et de blues de Nina Simone, apporte de la chaleur et du relief dans une tonalité scénographique plutôt noir et blanc. Le rapport au concret est essentiel : Chaque objet de la chambre de la grand-mère a son importance, évoquant à la fois le souvenir et le vide, mais participant aussi au rituel de transformation liée à la mort : le drap devient linceul, le lit devient la cave, le manteau devient la peau et la valise, invitation au voyage de Pacamambo, devient vecteur de transmission. Enfin la mort, si attendue, s’invite à prendre le thé pour finalement incarner l’évidence : accepter de vivre, c’est accepter de mourir.
Mise en scène: Marie Provence
Avec : Marion Duquenne, Jean-Jacques Rouvière, Francesca Giuliano ou Anne Gaillard, Sophie Lacoste ou Sonia Pintor I Font, Marie Provence.
Musique et Lumières: Damien Thille
Son: Etienne Fortin
Vidéo: Raphaël Vital-Durand
Scenographie: Francesca Giuliano et Marie Provence
Construction: Alain Harivel
Diffusion et Presse: Carine Steullet
Crédit photos: Vincent Lucas
Crédit Films: Vincent Lucas (Dailymotion) et Steven Elio Van Weel (You Tube)
Avec : Marion Duquenne, Jean-Jacques Rouvière, Francesca Giuliano ou Anne Gaillard, Sophie Lacoste ou Sonia Pintor I Font, Marie Provence.
Musique et Lumières: Damien Thille
Son: Etienne Fortin
Vidéo: Raphaël Vital-Durand
Scenographie: Francesca Giuliano et Marie Provence
Construction: Alain Harivel
Diffusion et Presse: Carine Steullet
Crédit photos: Vincent Lucas
Crédit Films: Vincent Lucas (Dailymotion) et Steven Elio Van Weel (You Tube)
Création le 5 novembre 2010 au Théâtre du Jeu de Paume
Production Compagnie Méninas - Théâtre du Jeu de Paume
Soutiens: Ville de Marseille, Conseil Général des Bouches du Rhône, Région PACA, La friche Belle de Mai, Le Parvis des Arts et le Théâtre des Bernardines