"Tragique mais pas triste, poétique mais pas larmoyant, animé d’une petite flamme intérieure (la même qui illumine le cœur des personnages), le spectacle capte l’attention du jeune spectateur sur des notions aussi complexes que l’absence, le trou noir, la peur, la séparation grâce à des gestes doux et tendres, de vielles valises rassurantes, des flacons de parfum embaumants et toujours les frétillements cocasses du Chien. C’est tout simplement lumineux. " Zibeline
"La mise en scène intelligente et imaginative de Marie Provence est chargée d’images fortes et de symboles jusqu’à l’onirisme et au fantastique. Avec des moyens matériels limités, elle nous donne à voir, à vivre ce voyage dans le monde intérieur de Julie, ses découvertes de l’univers post mortem (...) Voilà un spectacle essentiel, riche de signification et souvent bouleversant. A ne pas manquer." Theatrotheque.com
"Ce conte va dérouler l'amour de cette petite fille et engager, jusqu'au bout, sa quête de recherche de sens. Un parcours initiatique, accompagné par son tendre ami, le chien, qui nous donne une pointe d'humour, respiration souriante sur notre visage où se creusent les sillons des larmes. Cette pièce s'adresse au jeune public à partir de 9 ans mais les adultes y sont plongés instantanément. Le spectateur ne se cloisonne pas dans un circuit bien défini et tout reste ouvert." Ventdart.over-blog.com
"Pacamambo charme tout en abordant en douceur les questions du deuil, de l’absence, de la peur aussi et de la perte. Pleine de révolte, la Julie de Marion Duquenne est irrésistible et volubile. Complices du public, les personnages du chien (Jean-Jacques Rouvière) et de Marie Marie (Francesca Giuliano), que les spectateurs sont seuls à entendre, montrent quant à eux beaucoup en peu de mots." L’Espace Mon Theatre.qc.ca
"La pièce est centrée sur le personnage de Julie, interprété par l’excellente Marion Duquenne, parfaitement crédible dans son rôle de fillette. Sa fraîcheur, sa spontanéité, son jeu primesautier font merveille. On la suit volontiers dans cet univers où la Lune se transforme en ballon, où la mort apparaît en femme élégante, toute de noire vêtue dans son costume empoussiéré par la route, qui sort des os en vrac de son sac à main et délivre la morale de cette histoire : « Vivre, c’est accepter de mourir »." Les Trois coups
Marie Provence pour son spectacle Pacamambo de Wadji Mouawad ; Mathieu Bonfils, comédien de la compagnie Tandaim pour la pièce Villa Olga de Catherine Zambon (mise en scène Alexandra Tobelaim) ; Claude Pagès et Dominique Sicilia de la compagnie Cartoun Sardines pour Le Misanthrope de Molière et Dominique Pranlong-Mars, chargé de mission à l’Arcade , l’Agence régionale du spectacle vivant à Aix-en-Provence, nous livrent leurs expériences et leurs attentes de ce grand rendez-vous de la profession.
http://www.radiogrenouille.com/antenne/grille/festival-off-avignon-2012/
Reportage Radio Galère 88.4
Les enfants de la Capelette ont assisté au spectacle, ils en sont sorties émerveillés, rencontre avec la comédienne principale Marion Duquenne.
http://www.artpolitik.brokatof.com/theatre/festival-davignon-2012-pacamambo-de-wajdi-mouawad-cie-meninas-7eme-ciel/
Les enfants de la Capelette ont assisté au spectacle, ils en sont sorties émerveillés, rencontre avec la comédienne principale Marion Duquenne.